Présentation de votre pseudo…

Mai 1807,

C'était porte de Vanves, évoquant une rumeur de marché, le piétinement moutonnier des recrues, vaguant sous la pourriture d'un ciel qui publiait la décomposition hivernale.
Autour des poteaux indicateurs arborant un numéro de régiment, des paquets d'hommes faisaient des taches d'îlots, dans l'archipel vaseux du bastion 12, un espace désolé, enclos de palissades en fer de lance, comme un pacage.
Une fois encore, le sergent chargé de la conduite du détachement à destination du Havre ressassait la liste d'appel puis il ordonnait le départ.
A la sortie du bastion, la petite troupe, une centaine de recrues, était prise en écharpe, assaillie par la cohue zélée des parents, chargés de provisions, cherchant leur fruit dans cette julienne démocratique de blouses, de redingotes, de tricots et de paletots.
Le sergent, en queue, ralliait les traînards, criait : « serrez ! serrez ! » lançait sur eux un caporal qui trôlait, en chien de berger, les ramenait à coup de gueule.
La pluie avait cessé. Mais un avant-goût de la vie nouvelle se révélait sans retard dans le supplice physique des kilomètres de pavés parcourus, dans le pèlerinage à travers les flaques et les vieux oings des chaussées raboteuses.

Sur la mine ou sur la mise, des groupes s'étaient formées.
Attentif à ce tri social, derrière manifestations des attirances professionnelles, le sergent optait franchement pour les gens propres, abandonnait à la surveillance du caporal le fretin des couches inférieures. Et, tout de suite, à l'intention des deux gradés, s'opérait le saccage des provisions, l'échange des viandes dépiautées et des liquides influents.
Le déjeuner achevé, les distractions consistèrent à lancer les bouteilles vides. Ce jeu et les chants qui lui succédèrent emportèrent les dernière réserves.
Une gaieté d'ouvriers parisiens en villégiature, et la encore les refrains, de même que les habits, trahissaient les classes.
Alors le sergent, les yeux humides, la face cuite, le nez pareil à une langue de feu dans un incendie de façade, lantiponna :
« le régiment ?... comme tous les régiments :pas meilleur, pas plus mauvais. Ca dépend de la compagnie qui vous recevra. »
A peu près ivre, il parlait seul. Chacun, en effet, rentrait en soi, les épaules remontées, la tête dans la poitrine, à s'écouter le cœur. Des yeux se fermaient comme pour mieux voir. Sur cette réunion de jeunes hommes, une détresse planait, comme si leur passé eût fait naufrage.

mon nom de guerre remonte au jour ou je me suis presente pour la 1ere fois au maniement d arme en 1786 le sergent instructeur qui voulait nous apprendre la charge en douze temps nous la montre puis nous la fit faire et moi nouveaux conscrit bete comme ses pieds oublia de retirer la baguette du canon avant de faire feu. Heureusement je fit long feu le sergent me punit et depuis on me nome baguette

[b][i]"LA GIBERNE" :

du verbe" giberner "..discuter !!!

les soldats de l'empire ,pendant leur temps de repos , s'occupaient à

des travaux ..de coutures , et, réparations diverses ,et surtout ,ciraient

et, graissaient leur gibernes ,celles ci contenant leurs cartouches ...! ! !

pendant ,ce moment ,ils avaient l'habitude de se raconter des histoires

ou , de discuter ..! j'ai choisi ce nom ,car, comme vous le dirons mes

compagnons de misére ..! je cause ,râle et, grogne beaucoup....!!!

quoi...!! de plus normal pour un grognard ... de la somme .! ! !

La Tribune des patriotes fut un journal fondé en 1792 dont le rédacteur fut Camille Desmoulins, en collaboration avec Louis-Marie Stanislas Fréron. Seulement quatre numéros furent publiés.
Ce journal se voulait l'émanation du club des Cordeliers, malgré le fait que des membres célèbres, comme Jean-Paul Marat refusèrent d'y collaborer.
Dans son journal La Tribune des patriotes Camille Desmoulins assurait désirer combattre dans la ligne politique de Maximilien de Robespierre.
Extrait de la Tribune des patriotes [modifier]
« Mon cher Robespierre, écrivait-il, il y a trois ans que je te donne ce nom... Fréron et moi nous ne t'abandonnerons pas sur la brêche au milieu d'une nuée d'ennemis. Les efforts de tous ces faux patriotes acharnés aujourd'hui contre toi seul, nous les diviserons en attirant sur nous leur haine et en combattant à tes côtés, non pour un homme, non pour toi, mais pour la cause du peuple, de l'égalité, de la Constitution qu'on attaque en toi ».



Tout ceci pour dire que l'origine du nom de mon personnage, adjoint au rédacteur Camille Desmoulins, vient de cette époque troublée et "enjoleuse" pour un personnage épris d'aventure et de liberté.
Je gardai donc une partie du nom de ce journal tremplin vers une vie faite d'aventure et d'illusion.

Indulgents vous serez.
Tiens, je meu mais à fère des faotes ossi.
Bah, scuzez, en même temps, je travaille, donc je suis distrait.

Voici l'expliquation de mon histoire....

Je suis né le 07 décembre 1760 en la ville de Vannes, issu d’une famille de très longue lignée je me suis engagé suite au tirage de la boule en 1780 sous Louis le seizième à l’age de 19 ans et me suis retrouvé dans le régiment de piedmont nommé aussi le Blaisois. J’ai été démobilisé en 1785, 4 ans avant la révolution que j’ai suivit de loin par les colporteur de Bretagne. Je me suis installé dans le hameau de Damgan ou j’avais une maison est je me marié à une jeune fermière du coin, vivant de la pêche et de l’agriculture.

En 1801, c’est en revenant des champs avec un voisin, que je vis le carnage. Ma femme abattue comme une chienne et mon fils unique de 16 ans égorgé, décapité sa tête clouée à la porte de notre maison. Mon voisin horrifié par cette vision était sur que c’était l’œuvre des chouans. Il se signa plusieurs fois en priant pour leurs miséricordes, et ceci était le sort fait au traître pour « traîtrise à la Royauté et dénonciation au bleu ». Une dénonciation certainement calomnieuse, qui à coûté la vie à ma famille.

Mon Voisin me vit poser en dessous de la tête de mon fils unique un de mes sabots , qui récupéra le reste du sang de mon fils, puis j’ai mis mon pied dans ce sang encore chaud et depuis cette journée damné on m’a surnommé dans la région « Pied Rouge le Venette ».
Mon surnom Le Venette étant issue de ma droite et très longue lignée qui étaient les premiers habitants de la région de Vannes.

Après avoir ruminer pendant 1 ans passé, en j’ai pris la décision en 1804 de tout quitter et ne plus remettre les pieds dans ma région, j’ai pris mon baluchon et suis parti à Paris ou je me suis engagé pour rejoindre le 4° régiment de ligne 2° bataillon pour combattre les ennemis de la nation. J’ai donc eu la faveur de combattre à Ulm, Austerlitz, Eylau, heilsberg et koenigsberg…..

Pourquoi "LA CONSCIENCE" car entouré d'une bande de soiffards et de gredins, je suis le seul présentable de la bande et leur bonne conscience pour les reprendre des leurs penchants peu reluisants et de les ramener à bon port.

LA CONSCIENCE a écrit:

Pourquoi "LA CONSCIENCE" car entouré d'une bande de soiffards et de gredins, je suis le seul présentable de la bande et leur bonne conscience pour les reprendre des leurs penchants peu reluisants et de les ramener à bon port.

Comme vous avez pu le voir à Raches
Image prise sur le blog de pied rouge

m'occuper de tous ces bougres : c'est crevant

Quelqu'un viens de parler de crevant garder le moi de côté je vais venir le chercher.........

Mon pseudo est très simple je guerroyais le temps jadis et j'ai été fauché par des tristes messires donc de vis à trépas j'ai pris les rennes de cette chariotte qui je dois le dire me sied admirablement bien et fais les bivouacs pour en prendre quelques uns que ma faux touche......

Dont la phrase que j'ai trouvé : touche ma faux et a ton trépas monte dans ma chariotte.

sois le bien venu parmis nous mon ami

on m'apelle la mule pasque jsui tétu d'après la tribune chui une tète de mule

mai je supose que vs l'avez compris

Iéna, 1806.

C'était mon baptème du feu. Nous avion combattu toute l'après-midi. Après la bataille nous rejoignirent le bivouac. Harassés de fatigue et fourbus. Toutes les réserves d'eau de vie avaient été bues la veille, dans un élan de joie de vivre fiévreuse qui précède souvent les batailles. Je partis à la recherche de réserves cachées et réussi à soudoyer une bouteille de vin de Moselle trop sucré à une grosse Prussienne, qui ne voulut pas me la faire payer. Je revins fier au feu de camp où la 4ième Demi-Brigade acceuillais les restes du 3ième RiL. Je partagea ma bouteille avec les hommes au tour du feu. Elle fit le tour en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire et la bouteille me revint vide... Je bus la dernière goutte qui collait au goulot. Un certain dénomme 'la Tribune' se leva, me désigna et dit, comme pour me consoler: "tu t'appeleras la bouteille!" (sic)

Aujourd'hui, je veille à toujours avoir des réserves de gnôle en suffisence!

Félicitaions, "avoir toujours en suffisance", avec des hommes de troupe et autres gradés, que je ne citerai pas, mais qui se reconnaitront, c'est un vrai défi !!

Papy est le nom que l'on me donne dans le civil

Mon nom de bataille est : DÉGORGEOIR

le dégorgeoir est la pointe qui sert a trouer la gargousse avant de placer l'étoupille, et bien sur j'ai oublier de le prendre a mon premier bivouac

voila l'origine du dégorgeoir

ecoutez le lui comme s il ne buvait point je parille que c est lui qui a but la derniere gorgee de la dite bouteille lol

HONNEUR ET FIDELITER
comme la plus part sur ce forum me connaît sous le de sergent-major " le belge" la raison est que faisant partie du 3ème régiment suisse et que chez les suisses ont portent soit comme surnom le lieu d'ou on provient ou alors suite a un fait d'arme ou de bétises ( voir notre sapeur "SLIBOWICZ" ) qui porte son surnom grâce a une rencontre avec des tcheques , a lui demander quant vous le rencontrer

baguette a écrit:

ecoutez le lui comme s il ne buvait point je parille que c est lui qui a but la derniere gorgee de la dite bouteille lol

Hé Baguette, pourquoi tu crois qu'il s'est senti obligé de consoler le bleu après avoir bu? J'te dis, une véritable éponge, ce gars!

oui je m en doutais que c etait lui lol

Pourquoi rat'sape ?

Car, lors d'un bivouac, j'ai (du ) domir dans une tranchée pour protéger notre poudre qui se trouvait dans la tranchée. 420€ de poudre, sa doit se protéger !
Me voilou donc venu rat'sape ou génie militaire pour le sautres (car je suis beau,grand, fort et intelligent !)

Géniemilitaire alias rat'sape

Jiem ..... heu, parce que J-M

sinon, ben j'ai bêtement pas de nom de guerre ...sans doute parce que je fais jamais de bêtises