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 la reconstitution à la premiere personne

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chasseur versailles
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chasseur versailles


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MessageSujet: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptyJeu 13 Sep - 20:56

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Marc La Bréole
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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptyLun 22 Oct - 14:01

Je vais ouvrir le bal dés que possible en postant mon personnage en histoire-vivante. study
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Marc La Bréole
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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptySam 3 Nov - 0:32

Chose promise, chose due...Voici pour vous l'histoire de mon personnage historique.

Marc LEYDET

Je m'appelle Marc Leydet (dit La Bréole) et je suis natif des Hautes-Alpes-de-Provence, née le 19 avril 1780 dans la ville de Gap de Jean-Pierre et Marie-Claude Leydet. J'ai 2 fréres (Christophe et Pierre) ainsi qu'une soeur (Sophie).

Ma famille habitait dans un petit village dans la vallée de l'Ubaye, La Bréole,. Mon pére, ouvrier de pierre de grand talent, était connu dans tout le Pays de l'Ubaye pour la qualité de son travail et de son experience.

Suite à la campagne en Autriche et la guerre en Espagne qui faisait toujours rage, le désire de l'Empereur pour compler les vides de l'armée fait qu'une levée de conscrits s'est organisée dans mon département en 1809 et après avoir tiré un mauvais numéro pendant la cérémonie de conscrption dans mon village, j'étais ordonné de rejoindre le dépôt du 57eme régiment d'infanterie de ligne à Annecy.

Je reste dans le dépôt du 57e de Ligne jusqu'en 1812, où j'ai non seulement appris à lire et à écrire mais, par la gentillesse d'un de mes camarade de chambrée, j'ai également appris mon métier de barbier. mes talents de barbier ce qui me permettais d'avoir un niveau de vie assez corrécte pour un simple fusilier.

Hélas, mon long séjour pris fin en début 1812 lorsque je dois rejoindre mon régiment en Pologne, afin de participer à la campagne de Russie, combattant à Smolensk et à la Moskova, avant de subir l'horreur de la retraite de Moscou. Après une petite pause maladie en Prusse, je suis intégré au 85e de Ligne et participera à la défense de la ville de Dresde en 1813 avant de me retrouver prisioner-de-guerre suite à la capitulation de cette garnison en septembre 1813.

Après l'abdication de l'Empereur, je suis relaché et je regagne mes Alpes, prendant en charge la boutique de barbier de mon village. Mais, je fût rappellé sous les drapeaux en 1815 lors du retour de l'Empereur et intégre le 1er Régiment de Ligne, faisant parti de la division du Prince Jérôme Bonaparte et attaché au IIIe Corps du Général Reille . Je serai présent à la bataille de Quatre-Bras, participant à la prise de la ferme du Grand-Pierrepont ainsi que la prise (et retraite) du Bois de Bossu.

Deux jours plus tard, je serai à Waterloo me battant contre les anglo-hanoveriens autour de la ferme d'Hougoumont où je fût blessé à l'épaule par une balle anglaise. Cette blessure était mon moyen de sortie de cette bataille en me portant à un poste de secours, avant de rejoindre la déroute de l'armée battue. Je serai à nouveau remis en circulation dans la vie civile après l'exile de l'Empereur.

Une fois de plus, je retrouve mes Alpes et ma boutique et je me marierai avec une amie d'enfance, Claudine Duprés, qui me donnera 2 garçons: Thomas et Simon.

Enfin, ma vie s'achévera le 2 février 1830.
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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptyDim 4 Nov - 0:16

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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptyMer 7 Nov - 2:24

2 enfants pour Marc, 3 pour Versailles, ça va vos blessures vous ont pas trop mutilés... lol! lol!
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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptyMer 7 Nov - 10:03

C'est juste du fantasme ... tongue
Je travaille de mon côté à faire disparatre les miens dans mon histoire ...
Mort en 1794, ça ne m'a pas laissé pas beaucoup de temps pour procréer ....(quoi que) et fonder famille.
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chasseur versailles
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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptyMer 7 Nov - 12:47

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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptyMer 7 Nov - 15:16

Allez, tentative de RPP avec mes moyens limités :

JE.....

Bon, pour le reste, faut attendre
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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptyLun 19 Nov - 11:06

« La Tribune »

1 ère époque

Je suis né à Charleroi (Libre sur Sambre) le 2 novembre 1765, je grandis dans une famille modeste mais heureuse et sur une terre de justice.
Fils d’un artisan horloger-serrurier et d’une mère négociante en articles de mercerie, je vécus une enfance paisible dans la ville de Thuin en Pays de Liège, futur département de Jemappes.

La vie était heureuse et dès mon plus jeune âge je fus attiré par les livres, l’écriture et l’aventure, tout était prétexte à expédition dans nos bois.
Mon enseignement fut assuré par les frères dans les collèges réputés de la ville de Thuin.
Bien que fort dissipé, je m’acquittai de mon ouvrage d’étudiant honorablement.
J’eus la chance d’être en relation, dès l’age de 14 ans, avec les frères des abbayes de Lobbes et Aulne, ce qui me permit découvrir, en partie, les richesses matérielles et intellectuelles que ces abbayes recelaient.
Bien que la prise en charge séculaire des secteurs de la vie publique tel que l’enseignement, l’assistance publique, les registres paroissiaux correspondants à l’Etat civil aient été pris en charge par les monastères et aussi le clergé , la paix régnait sur notre pays de Liège.
Mais il est un fait que cette prise en charge de certains secteurs de la vie publique par l’Eglise apparaissait déjà outrancière à certains.
Chez nous les états généraux étaient annuels alors que leur convocation, en France, à la mi-1788 avec les premières initiatives royales à l'ouverture, le 5 mai 1789 par Louis xVI étaient les premiers en France depuis 175 ans..

2ème époque

A l’age de 17 ans, ayant des pré-dispositions pour l’aventure et les études, je réussis à convaincre mes parents de me laisser rejoindre un oncle, François Masson, érudit et libertaire habitant Paris.

Ce fut pour moi le premier grand voyage.

Mon installation dans la capitale française fut tumultueuse, mon oncle n’étant pas souvent présent.
Il avait le don de faire passer ses idées « romanesques » et déjà « révolutionnaires » lors de réunions organisées avec ses amis écrivains et journalistes, Desmoulins, Condorcet, Tallien, Babeuf, Mercier et Carat, ainsi que des avocats et autres personnages issus de la société aisée parisienne mais au final, cela arrangeait bien mon tempérament aventureux, La Liberté était mon quotidien.
Pendant la poursuite de mes études, j’occupai le poste de commis auprès d’un notaire ami de mon oncle, ce qui me permis d’acquérir une certaine indépendance financière.
Cette indépendance me permit de lier de nombreuses relations au sein de la jeunesse étudiante déjà guidée par les idées qui feront la révolution.

De 1782 à 1789, nous nous réunissions souvent pour refaire le monde.

Pris dans l’élan révolutionnaire et les événements de 1789, nous étions de toutes les réunions et rassemblements populaires.
Début 1792 je me retrouvai, grâce à mon oncle, adjoint du rédacteur de « La Tribune des Patriotes », Camille Desmoulin, journaliste patriote et émule de Robespierre.
Notre collaboration ne dura que le temps des quatre publications du journal .

3ème époque

Ayant toujours été attiré par l’état militaire, je rejoignis le 10° bataillon des volontaires de Paris aussi appelé « Bataillon des amis de la Patrie » qui en attendant mon départ m’affectèrent à la Conciergerie où j’occupais un poste de garde à l’arrière-greffe du Tribunal Révolutionnaire, salle d’attente vers l’échafaud, où je vis défiler ceux que la république voulait voir disparaître au nom de la Liberté, de l’Egalité, la Fraternité.
Ce n’était déjà plus qu’une parodie de justice, il fallait désengorger les prisons parisiennes et pour cela le Tribunal Révolutionnaire passa de sept jugements par jours à 70, la place manquait dans les prisons parisiennes et les suspects transférés déferlaient sur la capitale.
J’appris par la suite que Camille Desmoulins y fut exécuté..

Le 10 ème Bataillon fut appelé à se rassembler pour le grand départ, la France ayant déclaré la guerre à l’empereur d’Autriche le 20 avril 1792.
Nous étions heureux, nous allions enfin nous battre pour notre idéal.

Le sort me fit retraverser mon pays d’origine où je pus rapidement revoir ma mère grâce à l’amitié qui me liait à un sergent compréhensif,, mon père étant décédé en 1792, je ne retrouvai qu’elle, les autres membres de la famille s’étant éparpillés pensant fuir la redoutable invasion française .
L’avancée de notre élan les dépassât pour la plupart tant nous n’avions de cesse de courir vers les ennemis de la République.
Elle ne se remit jamais de nous avoir perdu tous deux, mon père enlevé par la maladie et moi par mes idées folles.

Nous nous attardâmes sur les régions qu’ avaient vu mes jeux d’enfants, la république nous demanda de faire inventaire des biens des Abbayes de Bonne Espérance, Lobbes et Aulne.
Je fus nommé Caporal Fourrier, mes aptitudes à l’écriture me servirent.
Quelle ironie du sort, devoir dresser l’inventaire des richesses qui furent pour moi l’émerveillement de mon enfance .
Le pire fut pour moi, d’assister en mai 1794 (24 Floréal an II), comme témoin impuissant à l’ incendie et au pillage des deux abbayes qui furent les phares de notre culture..
Lobbes et Aulne n’existaient plus.
Il ne restait rien de ce qu’était de mon passé.
J’usai de toutes les relations utiles pour échapper à ces visions de destruction.


4ème époque

Je rejoignis, à la moitié de l’an 1794 (17 Germinal an II), le 3° bataillon des volontaires de la république qui deviendra la 4° demi-brigade de bataille , leur caporal fourrier ayant été emporté à Wattignies en 1793 et dans le désordre régnant à l’époque personne n’avait pris la peine de le faire remplacer..

Aujourd’hui, je suis toujours le Caporal Fourrier de la 4° demi brigade, j’essaye de fuir le passé, la mort de mes souvenirs heureux et malheureux,, nous sommes en campagnes et cela me convient bien.
Je ne suis plus qu’un soldat, mes idées invincibles sont vaincues par la misère de ce qu’est notre quotidien de froid de faim, de douleur.
L’aventure, telle était mon désir, je devrais donc être heureux de mon sort, et pourtant ….
Nous sommes le 8 Messidor an II, nous venons de prendre le départ pour Fleurus, de nouveau près de chez moi, toujours cette ironie du sort qui me poursuit.
La survie de la révolution dépend de ce que nous trouverons à Fleurus, nous ne pouvons pas perdre cette bataille, sinon tout ceci aura été vain.

Qu’est-il arrivé ?
Que nous est-il arrivé ?
Que m’est-il arrivé ?
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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptySam 5 Jan - 19:37

C'est tout ?
Y a plus ???
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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptyMer 9 Jan - 0:24

Surprennant non...Pour ma part, je bosse sur le personnage de ma représentation britannique. Razz
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MessageSujet: Re: la reconstitution à la premiere personne   la reconstitution à la premiere personne EmptyMer 9 Jan - 19:01

Pierre François Percy

Pierre-François Percy est né à Montagney (Haute-Saône) le 28 octobre 1754.
Fils de chirurgien, il étudie pendant le règne de louis XVI à Paris, il est reçu en 1775 docteur en médecine à la faculté de Besançon.
Pendant son service militaire il obtient un brevet de chirurgien, et il devient chirurgien au régiment de Berri-cavalerie en 1782.
Chirurgien en chef des armées révolutionnaires, il aurait pu probablement réaliser de grandes choses si son caractère ne lui avait valu de nombreux ennemis qui prirent plaisir à faire échouer tous ces projets.

Il propose la transformation des trains d’artillerie bavarois attelés, en véhicule sanitaire.
Cette ambulance est capable de transporter rapidement les membres du corps mobile de chirurgie à califourchon directement sur le champ de bataille. En raison de sa forme on la surnomma « Wurst », mot allemand signifiant saucisse.

Il propose alors la création d’un corps indépendant de chirurgiens des armées, d’une compagnie d’infirmier et d’un bataillon militaire d’ambulance.
Le principe de bataillons d’ambulance est admis (seize caissons et quarante-huit cabriolets) mais l’administration ne permettra la création d’un corps d’infirmier qu’en 1809 puis, en 1813 : celle des despotats de l’empire, brancardiers militaires chargés de la relève des blessés, ils utilisent un brancard démontable dont chaque élément était constitué de la lance d’un brancardier.
Ce dernier était de plus équipé de moyens de soins à l’intérieur de son shko.

Le premier aussi il aurait eu l’idée des sociétés de Croix-Rouge et de la Convention de Genève.
Inspecteur général du service de santé des armées en l’an XII (1803), il se retrouve chirurgien en chef de la Grande Armée au camp de Boulogne.
La grande Armée a été, au commencement, le nom donné par Napoléon pour désigner l’armée d’invasion de l’Angleterre basée à Boulogne.
Percy est chirurgien de l’armée d’Allemagne : à Austerlitz (2-12-1805), à Iéna (14-10-1806), à Eylau (8-02-1807), à Friedland (14-06-1807) puis en Espagne (campagne de 1808-1809).

A Eylau, Percy est chirurgien en chef de la Grande Armée ; il assiste à la bataille et sera d’ailleurs immortalisé dans le tableau de Gros en train de secourir un soldat russe. Il raconte le lendemain, les amputations, le nombre grandissant de soldats blessés, qui souffre du froid et les chirurgiens couverts de sang. Et comment il essaye d’améliorer la condition de vie de ces malheureux.

Membre de l’institut : il entre à l’Académie des Sciences en 1807.
Contrairement à Larrey, Percy essaye d’éviter autant que possible l’amputation.
Il est fait baron de l’Empire après Wagram (6-07-1809) au cours de la deuxième campagne du Danube.
A partir de 1809, pendant les dernières guerres de l’Empire, le baron Percy, victime d’ophtalmie à répétition, empêché par son âge de suivre la Grande Armée, assura presque seul les services d’inspection de la rue de Varenne (Hôtel de Villeroy, où les inspecteurs du service de santé des armées de terre allaient se retrouver en 1806), il se consacra également à l’enseignement à la Faculté de Médecine de Paris.
Pendant la campagne de France, le 1er avril 1814, le chirurgien Percy sauve 12000 blessés russes et prussiens.
Envoyé durant les cent jours à la chambre des représentants par les électeurs de Haute-Saône il est mis à la retraite en 1815 au second retour des Bourbons, notamment à cause de ses prises de position en faveur des blessés des armées napoléoniennes, pour s’être rallié à Napoléon durant les Cent-Jours.

Cependant, lors de la création de l’Académie de Médecine, une ordonnance royale du 27 décembre 1820 le nomme membre honoraire de la section de chirurgie.


Vers 1820, c’est Pierre-François Percy qui inventa les fils de suture métalliques.
Il décède à Paris le 10 février 1825.
Le nom de Percy figure sur les tablettes de l’arc de Triomphe de l’Etoile, comme ceux de Larrey et Desgenettes.
Si un seul nom avait dû être gravé, le contexte politique du moment aurait sans doute désigné Larrey, l’histoire vraisemblablement Percy. D’ailleurs, certains contemporains ne s’y trompèrent pas : lorsque le peintre Antoine-Jean Gros peignit « Napoléon visitant le champ de bataille au lendemain de la bataille d’Eylau le 9 février 1807 », Larrey intervint pour y trouver place. Percy ne fit aucune démarche, et c’est lui qui figure sur l’immense toile, soutenant un blessé.
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